Le Sommaire 

• Parcs botaniques et animaliers d’Antananarivo

  • Lémurs’Park -  réserve de lémuriens / parc botanique

  • Croc’Farm - ferme d’élevage de crocodile

  • Parc botanique et zoologique de Tsimbazaza

  • Nosy Soa Park (à Mantasoa) 

• Centre de loisirs à Antananarivo

  • Le karting SRK - Serana Racing Club

Lemurs' Park se situe à 25 km du centre d'Antananarivo à Madagascar dans l'Océan Indien. Vous y découvrirez 7 espèces de lémuriens en liberté dans un parc botanique de 5 hectares plantés de 11 000 arbres endémiques, sur la RN 1 avant  Imerintsiatosika au PK 22.5

Le lémurien, symbole de la faune endémique de l'Ile de Madagascar dans l'Océan Indien, est incontestablement l'un des animaux les plus attachants de notre planète

L'observation de ces fabuleux mammifères en milieu naturel, devient de plus en plus rare à cause de la déforestation.

Lemurs' Park a été créé dans le but de faire découvrir ce surprenant animal au plus grand nombre, à tous les passionnés, amoureux de la nature et pour permettre ainsi, au fil des années et des naissances, de réintroduire dans leur milieu naturel les lémuriens nés dans le parc. 

Un sacré challenge que nous espérons mener à terme!

Aux portes de la capitale, la magie des lémuriens en liberté!

Un endroit privilégié, préservé et entretenu avec passion.

Adresse : 

Route Nationale n°1, PK 22, Katsaoka Imerintsiatosika - Route d'Ampefy

Contact :

• 033 11 252 59

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• Lemurs’Park

Jours et heures d’ouverture :

Ouvert 7/7, de 09h à 17h, nous prenons les derniers clients à 16h pour la dernière visite. Pas de fermeture annuelle

Ce domaine de 5 hectares, bordé par la rivière Katsaoka, accueille à ce jour 9 espèces de lémuriens des différentes régions de Madagascar, mais également d'autres représentants incontournables de la faune et de la flore malgaches.

75 000 élèves et 2.500 enseignants des Écoles Publiques Primaires de Tananarive ont pu bénéficié gratuitement du programme sortie classe verte au Lemurs'Park entre décembre 2008 et mai 2018.

Crocfarm est un parc animalier et botanique où les visiteurs peuvent découvrir crocodiles, lémuriens, caméléons, baobabs, et autres espèces endémiques de Madagascar à seulement 3 km de de l’aéroport international d’Antananarivo.
Aujourd’hui, après 25 ans d’existence, Crocfarm s’est engagé dans une politique de sensibilisation pour la protection de la faune et de la flore qui constituent la biodiversité malgache.
L’ambition de Crocfarm est de devenir à terme une biosphère où l’on retrouvera l'importante diversification des niches écologiques malgaches avec des espèces animales et végétales souvent uniques au monde.

Adresse : 

Quartier d’Ambohipanasina - A 5 minutes de l’aéroport d’Ivato

Contact :

• 032 11 301 43

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• Croc’Farm

Jours et heures d’ouverture :

Ouvert 7/7, de 9h00 à 17h00

Le parc botanique et zoologique de Tsimbazaza, à Antananarivo, a été fondé en 1925 par des colons français.

Ce parc est un lieu de conservation et d’étude de la faune et la flore de Madagascar, mais également un lieu de distraction pour les habitants de la capitale malgache.

Adresse : 

Rue Kasanga Fernand, Tsimbazaza, 101 Antananarivo

Contact :

• 033 12 506 70

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• Parc botanique et zoologique de Tsimbazaza

Jours et heures d’ouverture :

Ouvert 7/7, de 9h00 à 17h00

Nosy Soa Park est une réserve naturelle à vocation pédagogique et touristique. Elle s’étend sur une île de 1km de circonférence avec une superficie totale de 88 000m². On y recense plusieurs espèces floristiques, telles que des orchidées, des arbres fruitiers, d’eucalyptus et de ravintsara, et des espèces de bois précieux. Nosy Soa Park détient également une importante richesse faunistique. C’est en effet l’abri de plusieurs espèces de lémuriens, de tortues, de grenouilles, de caméléons et d’oiseaux.

Adresse : 

Afin d’accueillir les visiteurs locaux et étrangers, un chalet d’accueil, un parc de jeux pour enfants et des aires de repos y sont aménagés. Par ailleurs, des chemins d’accès menant vers le site de parcage des animaux ont été tracés.  Nosy Soa Park est accessible par voie routière en prenant la RN2 jusqu’à Ambatoloana. De là, il faut suivre une piste praticable en toute saison vers le lac de Mantasoa, pour atteindre le point d’embarquement menant sur l’île.

Contact :

• M. RIVO : 034 64 503 56
• Guide : 034 63 556 34
• HAVANA : 034 05 889 10

   

Jours et heures d’ouverture :

Ouvert 7/7, de 9h00 à 17h00

La Serana Racing Kart est le premier club de karting ouvert à Madagascar. L’objectif de la SRK est de promouvoir le karting à Madagascar, de démocratiser la pratique des sports mécaniques à Madagascar, et créer ainsi une filière sportive de haut niveau. le projet SRK a été lancé en 1998. les travaux de construction des infrastructures ont duré près de trois ans, pour être finalement inauguré en novembre 2001. Véritable complexe dédié aux sports mécaniques, le site s’étend sur un espace de 32 ha, et propose différents types de pistes de courses.

Adresse : 

Circuit Total Imerintsiatosika, Antananarivo

Contact :

• 22 273 86 

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• Site Internet : SRK

Jours et heures d’ouverture :

Ouvert tous les jours, sauf le lundi, de 10h00 à 17h00

Voici une liste non-exhaustive de restaurant, bar d’ambiance, ... sur Tananarive.

Il en existe de nombreux autres, que vous pourrez trouvez au travers de vos recherches sur un moteur de recherche, ou sur des sites spécialisés.

Ceci n’est qu’une liste de suggestions tirées de nos habitudes, de nos coups de coeur, de nos habitudes.

Les restaurants de Tana

• Le Nérone

• Le Petit Verdot

• Le Grand Orient

• L’Orion

• L’Urban Hotel

• Le Sakamanga

• La Ribaudière

Les pubs, Clubs, ... de Tananarive

• Le Manson

• Le Kudéta Urban Club

• Le Mojo

L’hôtel Restaurant Niaouly, comme bon nombre de ses confrères du centre ville de Tana, est membre de la COPS, une société de sécurité qui a mis en place un système de ronde de nuit et d’accompagnement des touristes dans les restaurants, bars, pub de la ville.

Pour profiter de ce service gratuit pour les touristes, il vous suffit de demander à la réception de l’hotel Niaouly, et d’attendre qu’un binome des COPS vous rejoignent pour vous accompagner dans un des lieux éligibles.

Attention : ce service n’est valable que pour les quartiers d’Ambatonakanga, d’Ambatovinaky, d’Antaninarenina, d’Isoraka.

Petit bouchon lyonnais ... à la sauce malgache

Contact :

+261 34 03 716 98
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27, rue R. Samuel Rahamefy, Ambatonakanga
101 Antananarivo Madagascar

Site internet  : Le Petit Verdot

A 2 minutes à pied de l’hotel Niaouly

Ouvert tous les jours de la semaine, sauf le dimanche, de 11h00 à 23h30

Spécialité Italienne

Contact :

+261 20 22 231 18 / +261 20 22 651 58
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28, Rue Ratsimilaho Ambatonakanga
Antaninarenina - 101 Antananarivo Madagascar

Page Facebook  : Ristorante Italiano

A 4 minutes à pied de l’hotel Niaouly

Ouvert tous les jours de la semaine, de 11h30 à 14h00 et de 18h00 à 23h00

Cuisine Asiatique

Contact :

22 426 55
Rue Andriantsihoarana Ratsimbazafy
Ivandry - 101 Antananarivo Madagascar

Taxi obligatoire

Ouvert tous les jours de la semaine, de 11h30 à 14h00 et de 18h00 à 23h00

Cuisine Française (spécialités savoyardes)

Contact :

Tél : 032 02 411 51

E-Mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Rue Paul Dussac (à côté Chambre de Commerce) - Quartier d’Analakely Sud - Antananarivo

Site internet : La Ribaudière

A 8 minutes à pied de l’hotel Niaouly

Ouvert tous les jours de la semaine de 11h00 à 15h00 et de 18h30 à 23h30

Produits de la mer

Contact :

+ 261 34 84 129 29

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Avenue des Palmiers Antsahavola 1er étage de la Villa Tsiazompaniry En face d’Auximad
Antsahavola - 101 Antananarivo Madagascar

A 12 minutes à pied de l’hotel Niaouly

Ouvert tous les jours de la semaine, à partir de 11h00

Cuisine Espagnole

Contact :

+261 20 22 209 80

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Tsiombikibo - Lot VE 12
Ambatovinaky | Ambatonakanga - 101 Antananarivo Madagascar

Site internet : Le grand Hôtel Urban

A 1 minute à pied de l’hotel Niaouly

Ouvert tous les jours de la semaine de 11h00 à 15h00 et de 18h30 à 23h30

 Cuisine du monde

Contact :

22 358 09
032 02 668 34 & 033 11 769 27

Lot IBK7bis - rue Ratianarivo 
Ampasamadinika - 101 Antananarivo Madagascar

Site internet : Le Sakamanga

A 12 minutes à pied de l’hotel Niaouly

Ouvert tous les jours de la semaine, à partir de 12h00 à 15h00 et de 18h30 à 22h00

Contact :

034 97 517 47

Quartier d’Isoraka - 101 Antananarivo Madagascar

Page Facebook : Le Manson by Marco

Ouvert tous les jours de la semaine à partir de 19h00

Bar à ambiance, Club, discothèque

Contact :

22 677 85

Enceinte de l’hôtel Carlton
Anosy - 101 Antananarivo Madagascar

Site internet : Le Kudéta Urban Club

Ouvert le lundi, mardi et le mercredi de 10h00 à 02h00 et les jeudi, vendredi, samedi de 10h00 à 06h00

Bar, club, discothèque

Contact :

032 07 605 03

Quartier d’Isoraka / Tsaralalana- 101 Antananarivo Madagascar

Site internet : Le Mojo

Ouvert du mardi au jeudi de 18h00 à 00h00 et des vendredi et samedi de 18h00 à 04h00

Bar à ambiance, Club, discothèque

Le sommaire

• Monuments historiques à Antananarivo

  • Le palais de la Reine - le « Rovan’i Madagasikara ou ROVA »

  • Le Rova d’Ambohimanga, la colline bleue

• Musées à Antananarivo

  • Le musée de la photographie

  • La fondation H - art contemporain de Madagascar

Le palais de la Reine, ou « Rova » est un lieu historique incontournable à visiter lors de votre séjour à Antananarivo, capitale de Madagascar.

Situé sur le point culminant de Tana, le palais vous offre de par sa situation une vue exceptionnelle sur la ville.

Jours et heures d’ouvertures :

Distance : A 20 minutes à pieds de l'hôtel Niaouly (Très belle promenade)

Le palais de la reine se trouve dans le quartier d’Andafiavaratra, à proximité du quartier d’Andohalo.

il faut compter 20 minutes à pieds à partir de l’hôtel Niaouly et 5 minutes en taxi.

Sur la route vous menant au palis, vous découvrirez le musée de la photographie, la cathédrale d’Andohalo, palais de justice, palais du premier ministre ...

MANJAKAMIADANA , IMMENSE PALAIS DE BOIS

Le roi Andrianjaka (1610-1630) a fondé le Rova d’Antananarivo, vaste plate-forme, au sommet de la colline la plus haute de la ville. Les souverains merina y ont édifié, l’un après l’autre, un ou plusieurs bâtiments afin d’affirmer leur légitimité.

Suivant la volonté et la recommandation d’Andrianampoinimerina, Ramavo succède à son époux Radama I, décédé le 27 juillet 1828. Elle monte sur le trône sous le nom de Ranavalona Ier à l’age de quarante ans.

Le règne de Ranavalona I, malgré sa fermeture aux contacts extérieurs, correspond essentiellement à une période de développement technique de l’architecture royale.

Ranavalona I (1828-1861) veut que le palais qu’elle se doit de construire soit à l’endroit même de la case (déjà détruite et reconstruite à Ambohimanga) qu’Andrianampoinimerina, autrefois, a fait édifier sous le nom de Manjakamiadana (qui règne en paix) ou Felanambola (les mains d’argent).

En 1839, Ranavalona I ordonne à Rainiharo, commandant en chef, de réunir les bois et les matériaux nécessaires à la construction de l’immense palais de bois que Jean Laborde, un Français qui a su gagner la confiance de la reine, va édifier dans l’enceinte royale.

Pensant que la perpétuation du nom réaffirme symboliquement l’autorité royale, la reine décide d’appeler son palais Manjakamiadana.

Bénéficiant des ouvriers formés par le charpentier français Gros et par James Cameron, Jean Laborde perfectionne le type d’architecture introduit à l’époque de Radama I. Il introduit l’idée de la monumentalité (le faste et la démesure, notions européennes) qu’il estime être nécessaire à l’affirmation de l’autorité royale.

L’édification de Manjakamiadana débute en 1839 et finit en 1841 grâce au système de la corvée (la corvée étant considérée comme un service cultuel et une contrainte difficilement supportable). La peine et les privations coûtent la vie à des milliers d’hommes pendant la construction ; le chiffre est variable selon les narrateurs. 

Ne recevant ni salaire ni nourriture, une véritable armée de travailleurs (recrutés dans tous les quartiers d’Antananarivo, de ses environs et des six provinces) est levée pour la réalisation de ce vaste projet, sans compter plusieurs milliers de soldats essentiellement mobilisés pour le transport des différents matériaux. Les militaires font partie de la classe des corvéables au même titre que les civils (borizano).

Le début de la construction obéit aux règles des prémices. Le choix du jour favorable est déterminé par le mpanandro (astrologue). L’axe Nord-Est, traditionnel et sacré, est respecté pour l’orientation du nouvel édifice.

Conformément au rite royal, le poteau de l’angle Nord-Est, partant de la base du palais jusqu’au faîte de son toit, doit être élevé en premier. Il va constituer l’ossature principale du palais.

Pour ce faire, les corvéables sont envoyés chercher un énorme et long tronc d’arbre dans la forêt de Zafimamy à Antsahambavy-Andranoavo. Le nom donné à cet arbre (mesurant 43 m de haut) est Ivolamahitsy (c’est vraiment de l’argent). Malgré tout l’effort déployé, le tronc n’arrive à destination qu’après plus de deux mois. Deux talismans le suivent pour le sanctifier et le rendre plus léger. Près de deux mille orteurs meurent en route, succombant sous la charge.La pointe est décorée de perles, d’anneaux d’argent et de drapeaux blancs.

Une fois arrivé, Ivolamahitsy est dressé en pilier central démarquant le coin des ancêtres. Une dure lutte s’engage pour son érection qui va durer douze heures. Ifaralahindrafatra, charpentier expert et homme de confiance, juché sur le tronc, commande les opérations avec un drapeau blanc ; et au sol, Isoamanana surveille la manœuvre.

Les ardoises destinées à la couverture du toit du palais sont transportées des mois durant, depuis le pays betsileo, à quelque deux cents kilomètres de la capitale royale.

Durant le règne de Ranavalona I, le bois demeure le seul matériau autorisé dans la construction des murs en ville ; ceux en pierre, briques crues, sont fady (tabous) et contraires aux sampy ou talismans de la souveraine. La pierre est seulement utilisée dans les soubassements des constructions et pour les tombeaux.

Par respect pour les habitudes culturelles et traditionnelles liées à l’utilisation du bois, Jean Laborde utilise le bois malgré sa rareté. En effet, l’utilisation excessive du bois combustible, la construction des maisons, la nécessité de clairsemer la forêt pour lutter contre les ennemis qui peuvent s’y dissimuler contribuent à l’épuisement de la forêt à Antananarivo à l’époque. Cette désertification est aussi voulue pour assurer la salubrité de la région en combattant contre la fièvre malgache.

Du bois d’ébène et du bois de vandrika, bois très dur d’un jaune clair, sont sélectionnés pour former le parquet du rez-de-chaussée et des étages.

Des troncs d’arbre éparpillés partout jonchent le sol d’Andohalo avant d’être équarris avec une grande scie. C’est ce qui a fait dire « Sec comme la grande scie d’Andohalo » puisqu’on ne la graisse pas, ce qui n’empêche pas le tronc de mousser. Des Tsierondahy coupent les troncs.

Manjakamiadana est construit avec de beaux troncs d’arbres de qualité. Les colonnes qui soutiennent les vérandas sont toutes mesurées par brassée avant d’être recouvertes de jolies planches travaillées.

Le palais reste très attaché à la construction traditionnelle. L’organisation autour du pilier central, la présence de la grande salle unique incluse dans un bâtiment rectangulaire orienté Nord-Est, le respect du caractère sacré de l’Est, confirment la persistance de la coutume elle-même puissamment évoquée par le symbolisme de l’aigle (voromahery, une espèce de faucon malgache) déployant ses ailes et du coyau. Jean Laborde a fait venir de la France cet aigle placé sur Manjakamiadana. Des cérémonies d’exorcisme ont eu lieu lors de l’arrivée de cet emblème pour lui donner droit de cité.

RUPTURE AVEC LA TRADITION

Ranavalona II (1868-1883), nièce de Ranavalona I, succède à la défunte reine Rasoherina. La nouvelle souveraine, convertie au protestantisme, décide de faire construire un temple de pierre en l’enceinte du Rova. Mais pour cela il lui faut lever l’interdit sur l’habitat.

La décision royale permet l’utilisation de la pierre dans les constructions civiles ainsi que dans les constructions des édifices religieux. Désormais, les vivants ont droit à la pierre jusque-là réservée aux morts et au sacré.

Le règne de Ranavalona II correspond à une période de développement technique : le passage du bois à la pierre. La ville d’Antananarivo est ainsi transformée. C’est la rupture avec la tradition.

La désertification progressive de l’Imerina, les incendies devenus fréquents dans cette ville en bois favorisent l’avènement de la pierre. 

Suivant la coutume des ancêtres, Ranavalona II manifeste le désir de construire un nouveau palais. Mais constatant que Manjakamiadana s’est détérioré et se trouve en mauvais état, la reine abandonne ce projet au profit de la réfection en pierre du palais de bois. La violence de la saison des pluies en Imerina, l’emploi du varongy (bois relativement fragile) pour les colonnes des vérandas pourraient expliquer sa dégradation rapide.

En 1869, la reine prend la parole devant le peuple pour le préparer à ce grand travail qui va bientôt commencer. Rainitrimo, 13 honneurs, tient le plan. Le chantier est confié à James Cameron, architecte-missionnaire anglais.

Selon la tradition, le recouvrement de pierre doit débuter par l’angle Nord-Est. Les fondations sont faites du mélange de granit et des graviers, ce qui constitue une base très solide. Les colonnes qui soutiennent les vérandas, il y en a des pourries, sont démontées pour être remplacées par des colonnes de pierres.

L’utilisation de la pierre entraîne la diminution de la largeur des travées. La verticalité s’affirme malgré la présence des bardeaux sculptés et de la balustrade qui dissimule l’actuel coyau. Les tours qui dépassent d’un niveau les façades contribuent à accentuer l’effet d’aplomb transmis par l’édifice. La fonction de ces éléments d’angle est mise en évidence par leur chaînage. James Cameron dispose des tirants de bois à l’intérieur des tours pour les équilibrer durant les travaux. Les pierres nécessaires à la construction des façades et des tours sont soulevées grâce à des palans.

Ces travaux gigantesques se réalisent grâce au dur labeur des corvéables.

La construction décidée, le peuple reçoit en avis l’ordre de fournir à la reine Ranavalona II au plus tôt 65000 pierres; 35000 autres doivent être apportées pour la construction du temple. C’est donc en tout 100000 pierres de taille que le peuple est condamné à porter à Antananarivo.

Le granit qui provient d’Ambatomaro, Malakialina, et d’Ambohipotsy est utilisé. Ces lieux sont relativement peu éloignés du Rova mais les chemins, impraticables, rendent la tâche dure aux corvéables. Les blocs sont tirés par des milliers de bras sans le secours des charrettes ni des zébus.

Plus pénible encore est le labeur de ceux qui sont chargés d’apporter depuis le Betsileo la chaux et les ardoises nécessaires aux travaux.

Si les grands décident que les pierres ne sont pas dignes du palais, elles sont rejetées comme impropres au nouveau monument et les pauvres gens qui les ont apportées sont obligés d’en chercher d’autres.

Malgré le souhait de James Cameron de préserver l’aspect général du palais de bois, l’allure initiale du palais est considérablement modifiée.

Les éléments de l’architecture classique, en vogue dans le 19e siècle européen, sont présents dans ce palais dont le style pourrait évoquer celui des palais italiens du 16e siècle pour la superposition des ordres et des arcades, la massivité relative du premier niveau. Aux niveaux supérieurs, la façade du palais s’allège grâce aux arcades à l’épaisseur réduite des piliers qui supportent socles et demi-colonnes. Le rôle des colonnes et des chapiteaux est essentiellement esthétique, il permet d’atténuer la sévérité de la façade. Seul le toit traditionnel pointu rappelle le palais de bois.

L’introduction révolutionnaire de ces éléments dans le Rova permet au Manjakamiadana de jouer le rôle de catalyseur ; les tours, les colonnes de pierre, les chapiteaux deviennent à la mode dans l’architecture domestique.

Le temple d’Ampamarinana se termine en 1874 alors que les tours du Manjakamiadana ne sont pas encore achevées. Les travaux traînent beaucoup. Ainsi, le gouvernement décide de lever des impôts pour payer les ouvriers.

La masse imposante du Manjakamiadana de pierre, cet édifice monumental, domine le Rova et l’ensemble de la ville ; évoque et perpétue le souvenir des souverains merina ; impressionne les visiteurs.

Le travail de la pierre atteint son degré le plus élevé dans l’œuvre de James Cameron qui a su allier harmonie et efficacité.

NOUVELLE DESTINEE DU PALAIS DE LA REINE

En 1895, des canons français bombardent le Rova d’Antananarivo. Un obus touche la façade du Manjakamiadana.

La France détrône la reine malgache Ranavalona III et la fait partir en exil. Le Rova se vide de ses illustres occupants pour se trouver à la disposition des colonisateurs. Dès mars1897, le Général Gallieni en fait un musée qu’il ouvre au public.

L’école le Myre de Vilers s’installe au rez-de-chaussée du Manjakamiadana, l’ancienne salle du Trône, avant de faire place à un musée d’histoire naturelle groupant des collections de l’Académie malgache (collection de magnifiques spécimens naturalisés de reptiles, de poissons, d’oiseaux, d’insectes,… ; collection de roches, de minéraux et de coquillages fossiles). 

Jully Anthony, architecte de la Résidence – nommé conservateur du nouveau musée, aménage en premier la salle du premier étage. C’est une immense pièce à plafond très élevé d’une superficie de 360 mères carrés. Il y regroupe les souvenirs laissés par les souverains merina : mobilier, costumes, lamba, filanjana, étendards, etc….En 1957, sur l’initiative de Raharimihaja Razafy-Andriamihaingo Suzanne nommée conservateur du musée du palais de la reine depuis mai 1946, une nouvelle présentation de cette salle voit le jour (vitrines, mannequins et panneaux…).

En 1928, la salle des beaux-arts ou salle « Louis du Moulin » (nom de son créateur) est ouverte au deuxième étage. Elle contient des toiles d’artistes français, des œuvres des boursiers de Madagascar et des reproductions des chefs d’œuvre de la peinture française. Au même niveau, une pièce plus petite est attribuée aux peintres malgaches.

Au petit matin du 16 octobre 1958, lors de la reconnaissance officielle de la République Malgache, le drapeau français et le nouveau drapeau malgache sont hissés côte à côte sur le seul et unique mât du Manjakamiadana (portant l’emblème royal à l’époque) afin de symboliser par cette union l’entrée de Madagascar au sein de la Communauté française.

En 1986, le palais doit être fermé officiellement au public pour plusieurs mois. L’énorme pilier central s’avère mouvant et pose des problèmes sérieux. D’importants désordres, notamment un affaissement de la façade Ouest et des travaux de réparation intéressant les fondations mêmes du grand édifice justifient aussi cette fermeture.

L’INCENDIE DE 1995

Dans la nuit du Samedi 6 novembre 1995, un incendie, considéré comme un accident, détruit totalement le Rova d’Antananarivo. Les flammes ne laissent que des décombres de pierres.

Peu de temps après la fâcheuse catastrophe, le Gouvernement Malgache sous le régime du Président Ratsiraka Didier crée et confie la Direction Nationale des Opérations Rova (DNOR) à quatre experts issus du Ministère de la Culture. Ces derniers ont la responsabilité de mettre des plans pour la reconstruction du Rova sur pied. L’UNESCO, l’Agence Française de Développement, le peuple malgache versent de grosses sommes dans la restauration du patrimoine détruit par le feu.

Mais c’est seulement en janvier 2006 que les travaux de réhabilitation de Manjakamiadana commencent vraiment. Le Comité National du Patrimoine (CNP), instauré par le Président Ravalomanana Marc, s’en occupe. 230 ouvriers exécutent les deux premières phases (modernisation des fondations de l’édifice et reconstruction des murs extérieurs) jusqu’en 2009. Les dépenses sont estimées à plus de six millions d’euros. Les deux dernières phases, évaluées à peu près de quatre millions d’euros, sont entamées au début de l’année 2011 (reconstruction de l’intérieur du palais et rénovation du musée au rez-de-chaussée)

En 2009, la HAT (Haute Autorité de l’Etat) dirigée par le Président Rajoelina Andry décide de continuer les travaux inachevés. Les dons provenant des citoyens malgaches et l’investissement de l’Etat combinés en vont permettre la réalisation. Les membres du Comité National du Patrimoine sont remplacés, le 7 mars 2011, par des nouvelles têtes de la transition.

Beaucoup reste encore à faire dans le temps présent.

Le Rova d’Antananarivo, qui demeure un symbole, ne l’est pas exclusivement de l’histoire de l’Imerina ; c’est aussi le patrimoine national de l’île entière, quintessence du génie malgache.

Manjakamiadana, véritable document historique est un patrimoine mondial pour sa beauté et son prestige. Aucun bâtiment, à l’exception du palais du premier ministre à Andafiavaratra, ne l’égale en proportion.

La colline royale d'Ambohimanga se compose d'une cité royale, d'un site funéraire royal et d'un ensemble de lieux sacrés. Associée à un fort sentiment d'identité nationale, elle conserve son atmosphère de spiritualité et son caractère sacré, dans la pratique et dans l'esprit de la population, depuis quelque 500 ans. Elle demeure un lieu de culte et de pèlerinage que l'on vient visiter de Madagascar et d'ailleurs.

Le Rova d'Ambohimanga étant situé à un peu plus de 20Km du centre ville d'Antananarivo, nous vous recommandons de louer une voiture avec chauffeur pour vous y rendre.

Brève synthèse

La colline royale d’Ambohimanga constitue un témoignage exceptionnel de la civilisation qui s’est développée sur les Hautes terres centrales malgaches du XVe au XIXe siècle, et des traditions culturelles et spirituelles, le culte des Rois et des Ancêtres, qui y sont étroitement associées.  La colline royale d’Ambohimanga est le berceau du royaume et de la dynastie qui a fait de Madagascar un État moderne et internationalement reconnu dès 1817. Elle est associée à des valeurs identitaires et émotionnelles très fortes relevant du caractère sacré du site à travers ses tombeaux royaux vénérés, ses nombreux lieux de culte (fontaine, bassins et bois sacrés, pierres de sacrifice), et ses arbres royaux à allure majestueuse.

Capitale religieuse et ville sainte du royaume de Madagascar au XIXe siècle, la colline royale était le lieu d’enterrement de ses souverains. Le site recèle des preuves archéologiques claires de l’ancien exercice du pouvoir et de la justice. Il est encore aujourd’hui au cœur des pratiques religieuses de beaucoup de malgaches et constitue une mémoire vivante de la religion traditionnelle.

La colline royale d’Ambohimanga se compose d’un système de fortifications constitué d’une série de fossés et de 14 portails de pierre fortifiés, d’une cité royale composée d’un ensemble bâti cohérent délimité par un enclos royal et associant une place publique (le Fidasiana), des arbres royaux, une place de justice, d’autres lieux de culte naturels ou bâtis, d’un ensemble de lieux sacrés ainsi que de terrains de culture. La cité royale proprement dite comprend deux palais et un petit pavillon, une fosse à bœuf, deux bassins sacrés et quatre tombeaux royaux.  En outre, le bien désigné abrite les vestiges d’une forêt primaire conservant de nombreuses espèces végétales endémiques et de plantes médicinales.

La colline royale d’Ambohimanga constitue un exemple éminent d’ensemble architectural (le Rova) et de paysage culturel associatif (bois, fontaine et étang sacrés) illustrant des périodes significatives de l’histoire humaine du XVIe au XIXe siècle dans les îles de l’Océan Indien. La position particulièrement élevée du Rova traduit l’importance politique du site et lui confère une place très significative parmi les ensembles fortifiés de l’Imerina (région d’Antananarivo). De par sa position géographique, la colline royale d’Ambohimanga offre une vue circulaire déterminante pour le choix stratégique d’une résidence défensive. Ainsi, Ambohimanga témoigne d’un pouvoir royal puissant, d’un centre décisionnel devant par la suite faire modèle. L’indéniable architecture de style traditionnel malgache et européen de la cité royale témoigne des diverses étapes politiques de l’histoire de Madagascar. 

Le paysage de la colline royale d’Ambohimanga est associé à des évènements historiques importants (lieu de l’unification malgache), ainsi qu’à des traditions et croyances toujours vivantes et ayant une Valeur universelle exceptionnelle (culte des Ancêtres). Le caractère éminemment sacré du lieu et de ses composantes justifie le respect et la vénération que les malgaches lui vouent depuis des siècles. Le site constitue un témoignage remarquable de la culture austronésienne (Indonésie) à travers le culte des Ancêtres et les pratiques agricoles, notamment la riziculture irriguée et en gradin d’une part et, d’autre part, de la culture africaine (Afrique Orientale et australe) à travers le culte de la personne royale. Les malgaches attribuent une importance capitale et vouent un respect absolu à la colline royale d’Ambohimanga qu’ils fréquentent pour s’imprégner de l’esprit des lieux, se ressourcer et demander bénédiction et protection pour tout ce qu’ils entreprennent dans la vie. C’est aussi un lieu de culte et de pèlerinage pour eux ainsi que pour de nombreux étrangers, et ce depuis des siècles.

 Intégrité

La colline royale d’Ambohimanga a préservé son intégrité visuelle. Le site est en bon état physique, la végétation recouvre de façon continue les pentes de la colline malgré l’envahissement de certaines espèces exotiques ou locales (bambusa, lantana, pinus). La forêt de la colline constitue l’élément résiduel le plus important de la forêt primaire à feuilles caduques qui recouvrait auparavant l’intérieur de Madagascar. Cette forêt comprend des espèces endémiques, des espèces ligneuses, des espèces herbacées et des plantes médicinales. L’abondance du « zahana » (phyllarthron madagascariensis) et des plantes médicinales constitue le caractère particulier de la forêt d’Ambohimanga. Par ailleurs, la forêt a gardé son pouvoir de régénération et les cycles biogéochimiques, en particulier celui de l’eau, continuent d’être actifs, assurant à la fontaine et à l’étang sacré leur continuité d’usage.

Authenticité

La disposition au sommet de la colline de l’enclos royal avec ses bâtiments est conforme à la tradition de l’Imerina (région d’Antananarivo), en particulier, et de Madagascar, en général. Le caractère sacré du site se manifeste dans les pèlerinages et les sacrifices dont il est témoin.  Les différents éléments qui le composent sont représentatifs des savoir faire et des croyances traditionnels : les habitations des vivants sont en bois et en végétaux (matériaux vivants), tandis que les demeures des morts sont en pierre (matériaux froid et inerte). Les matériaux utilisés respectent les traditions constructives de leur époque. Les travaux de restauration entrepris depuis 1996 utilisent les matériaux et les techniques de construction basés sur le savoir faire traditionnel malgache et respectent la vision cosmologique du lieu pour en préserver l’authenticité.  Par ailleurs, les cases saintes en bois, symbole des tombeaux royaux démolis par les autorités coloniales françaises, ont été reconstruites en 2008 par l’État malgache en respectant les rites, les règles de construction et les matériaux traditionnels (pour le choix des essences de bois en particulier), en raison de leur importance symbolique. De ce fait, les restes mortels des souverains retirés du site en 1897 ont été remis dans leurs caveaux originels afin de consolider la sacralité du lieu.

Adresse :

Ancienne Résidence des Maires, Anjohy, Rue Andriamanalina Ravelomanantsoa (Derrière l'Etat major), 101 Antananarivo

Heures et jours d’ouverture :

Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 10h à 17h. Il est fermé le dimanche

Tarifs :

Plein tarif : 5 000 Ariary

Tarif réduit : 1 000 Ariary

• Pour les 13-25 ans (sur présentation d’un justificatif)
• Tous les mardis et les jeudis de 10h à 13h

Gratuit

• Enfant jusqu'à 12 ans (sur présentation d’un justificatif)

Contact :

032 88 871 81

Site internet : Musée de la photographie de Madagascar

Ouvert officiellement le jeudi 15 février 2018, le musée de la photographie d’Antananarivo est l'aboutissement de cinq années de travail de collectes et d'archivages.
Situé dans la haute ville, à 15 minutes à pieds de l’hotel Niaouly, le musée occupe pour une durée de 20 ans l’ancienne « maison des maires ».
Ce musée qui regroupe d'ores et déjà plus de 5 000 photographie de Madagascar provenant des archives nationales et de collections privées mises à disposition par des particuliers, a vu le jour dans l’ancienne Résidence des Maires grâce à la coopération entre la Région Île-de-France et la Commune urbaine de Tana qui a permis de rénover entièrement le bâtiment et les jardins et d’accueillir le projet.
Le musée de la photographie s’est donné pour mission de numériser les photographies prises à Madagascar entre 1860 et 1960 afin de préserver et valoriser le patrimoine photographique de la grande ile.
Le musée de la photo n'aurait pas pu se faire sans un partenariat entre l'association « Musée de la photo de Madagascar", le mécène Cédric Donck, l'enseignante-chercheuse en histoire et présidente du musée, Helihanta Rajaonarison,.
Le Musée va d’ailleurs renforcer le projet d’inscription au Patrimoine mondial de l’UNESCO de la Haute Ville de Tana qui est mené par la coopération Région IdF et CUA

• Avant la colonisation
• Période colonial
• Les grandes constructions
• Scènes de vie quotidienne
• L'indépendance

Salle de projection

Quatre salles de projection diffusent des films thématiques, réalisés à partir de photographies issues de la base de données du Musée. Ainsi on trouvera par exemple un film sur l’histoire des principales villes malgaches, un autre sur les grands personnages du XIX^ème siècle à Antananarivo, un autre sur l’âge d’or de la photographie dans les années 1930 à Madagascar.  Les films sont proposés en plusieurs langues, selon le public présent.

Salle d’exposition

Une grande salle d’exposition et le jardin du Musée permettent d’accueillir des expositions temporaires. Une place particulière est ainsi dédiée à l’accueil d’un photographe contemporain, qu’il soit malgache ou étranger : c’est son regard sur le pays sur la Grande île qui sera partagé avec les visiteurs.

La café du musée

Le jardin abrite le « Café du Musée ». Le Chef Johary Rakotoson y propose une cuisine de terroir et une carte de boissons qui mettent en valeur le label Vita Malagasy.

Adresse :

Rue Refotana, analakely, 101 antananarivo (à 100m de l’entrée du consulat de France)

Heures et jours d’ouverture :

Le musée est ouvert du mardi au samedi de 10h à 18h et le dimanche de 10h à 16h. Il est fermé le lundi.

Tarifs :

Entrée gratuite

Contact :

038 05 500 50

Site internet :Fondation H

Au sein d’un bâtiment historique du centre-ville d’Antananarivo, construit il y a un siècle et entièrement rénové et agrandi, le nouvel espace de la Fondation H se veut un lieu vivant, de création et de dialogue tourné en priorité vers les artistes d’Afrique et des diasporas. De par sa taille et son ambition, la Fondation H se place aux côtés des quelques institutions artistiques en Afrique capables aujourd’hui d’appuyer le rayonnement de ces scènes à l’international.

La Fondation H est une fondation malgache d’art contemporain.
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Elle a été créée à Antananarivo en 2017 à l’initiative de l’entrepreneur et mécène Hassanein Hiridjee, convaincu que l’art et la culture ont un impact sociétal fort et permettent une ouverture critique au monde. Elle est reconnue d’utilité publique depuis 2018.
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La Fondation H opère depuis 6 ans des programmes dédiés à l’accompagnement des artistes d’Afrique et de ses diasporas dans leur carrière, facilite l’accès des publics à l’art, et participe activement au développement et à la structuration de la scène artistique dans l’océan Indien. Alors qu’Antananarivo, la capitale malgache, ne dispose d’aucun musée public d’art contemporain ni école d’art, malgré un patrimoine historique et culturel immense, la Fondation H joue un rôle clé dans ce contexte local et plus largement sur le continent africain.

La Fondation H apporte par ailleurs son soutien, depuis sa création, au rayonnement et à la diffusion de la création artistique de Madagascar et du continent africain à travers le mécénat d’expositions internationales telles que deux expositions de la Saison Africa2020 en 2021 : Memoria : Récits d’une autre histoire (FRAC Nouvelle Aquitaine, Bordeaux) et Katia Kameli, Elle a allumé le vif du passé (FRAC PACA, Marseille) ; Joël Andrianomearisoa pour le Pavillon de Madagascar (Biennale de Venise, 2019) ; et 'Madagascar : Arts de la Grande Ile' (Musée du Quai Branly, 2018-2019).
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La Fondation H constitue depuis sa création une collection d’art contemporain, très largement focalisée sur les artistes d’Afrique et de ses diasporas.

Avec notre équipe en cuisine, nous avons choisi de priviliéger les produits locaux, et non d’importation, afin de soutenir les initiatives locales, créatrices d’emplois et de valeur ajoutée pour le pays.

Nos fournisseurs fabriquent tous les produits que nous commercialisons de façon artisanale, en respectant les normes sanitaires.

Contact :

Tél. : 032.02.468.22

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Livraisons sur Antananarivo 2 fois par mois à l’hôtel NIAOULY.

Et Au Milieu Coule Une Rivière…

Société familiale implantée à Mananjary, entre le Canal des Pangalanes et l’Océan Indien, qui propose différentes déclinaisons des produits de la mer, au gré des saisons, tout en respectant des normes d’hygiène et de transformation optimales.

Et Au Milieu coule Une Rivière…se développe également autour d’un projet apicole et cette année 2018, la société vous propose différents types de miel, au gré des floraisons.

Cette société a été créée en 2016, et est partie du désir d’un homme, Ali, de mieux vivre.

Las et déçu par une vie professionnelle qui ne lui laissait plus le temps de s’investir auprès de sa famille, Ali a ressenti une envie de changement, de retour aux sources et surtout, une volonté de partage familial.

Cette société, c’est l’histoire d’un homme qui a su tout quitter pour se réinventer et faire découvrir à ses enfants les plaisirs simples de la nature et de la vie. C’est aussi l’histoire d’une famille qui se construit autour d’un projet commun : l’idée que seul, on ne peut pas grand-chose ! Et c’est pourquoi, cette jeune société s’inscrit aussi et surtout au cœur d’un projet solidaire pour que le partage en soit la valeur centrale. 

Les différents produits proposés :

• De la Mer :

Tous les poissons et les fruits de mer utilisés sont issus d’une pêche traditionnelle en pirogue à rame dans l’Océan Indien.

• Produits Portionnés : brochettes poisson/crevettes, filets de poisson…
• Produits Cuisinés : gratin de fruits de mer, soupe de poisson…
• Poisson Fumé : espadon, thon jaune, requin marteau…

La qualité gustative de nos poissons fumés provient essentiellement du respect des méthodes traditionnelles de fumage à froid pendant plus de 26 heures, ainsi que d’un mélange d’essences de bois nobles​​

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• De l’Apiculture :

Depuis son installation sur Mananjary, Ali, grand amateur de miel, a constaté que la production de miel dans cette région diminuait fortement et que les apiculteurs traditionnels n’arrivaient plus à vivre de leur métier.

Depuis 2016, il a choisit de s’investir, auprès des apiculteurs locaux, pour sauvegarder cette tradition.

Il a donc suivit diverses formations en apiculture moderne, et a entreprit de créer son propre rucher.

En parallèle, il a souhaité développer son activité tout en l’inscrivant dans un projet solidaire qui a pour vocation d’aider les apiculteurs traditionnels à se former et à s’équiper de ruches modernes afin de relancer leur production et de pouvoir à nouveau vivre de leur passion.

En s’appuyant sur les connaissances acquises lors de ses formations, et avec l’aide de Guy, un apiculteur traditionnel reconnu dans la région, il s’emploie à épauler de nombreuses familles qui survivent exclusivement du travail de leurs abeilles, dans l’espoir de créer, avec elles, une mielleriecoopérative qui permettrait à chacun de mieux vivre.

A ce jour, Ali propose ses premières récoltes, au gré des floraisons : miel de Niaouly, miel de letchee et miel toutes fleurs.

Projet solidaire d’accompagnement des apiculteurs de Mananjary et création d’une miellerie coopérative.

Situation actuelle :

La région du sud-est de Madagascar, et principalement la ville de Mananjary, est une région propice à l’exploitation mellifère. Le miel est utilisé par les Malgaches pour ses vertus nutritives et médicales. Madagascar a toujours été une île productrice de miel, et les besoins en miel ne cessent d’augmenter.

Cependant, aujourd’hui, les techniques d’apicultures traditionnelles des apiculteurs malgaches sont mises à mal par l’apparition du Varroa destructor, un acarien qui tue les abeilles. Comme dans tous les pays européens, les essaims d’abeilles tendent à être décimés, et les apiculteurs malgaches n’ont ni les moyens ni les connaissances pour faire face seuls à ce fléau.

Ces quelques dernières années, la production de miel a nettement diminué sur la région de Mananjary, et les méthodes d’apiculture traditionnelles ne sont plus efficaces ni suffisantes pour permettre aux apiculteurs malgaches de vivre de leur production.    

Objectifs :

Notre objectif est de permettre aux apiculteurs malgaches de se former aux méthodes modernes et d’acquérir des ruches modernes qu’ils pourront traiter contre le varroa destructor, et ainsi de pouvoir continuer à vivre de leur production de miel.

A plus grande échelle, le fait d’aider les apiculteurs permettra aussi de maintenir un prix d’achat raisonnable afin que tous les Malgaches puissent continuer à utiliser le miel, si cher à leur tradition.

L’objectif final serait de créer une coopérative rassemblant les apiculteurs de la région de Mananjary et de développerensemble une miellerie aux normes internationales afin d’extraire le miel dans des conditions d’hygiène irréprochables et de pouvoir commercialiser la production dans tous le pays, et ainsi de développer cette région enclavée.

Projet :

En 2017, 95 % des apiculteurs de cette région utilisent toujours des ruches traditionnelles (tronc d’arbres, pot de peintures recyclés…) qu’ils ne peuvent pas traiter contre les attaques du Varroi. Après une étude menée sur l’année 2016, les apiculteurs voient près de 60 % de leurs abeilles s’affaiblir, et près de 40 % de leurs essaims être décimés. Leur production a donc chutée de près de 50% entre l’année 2010 et l’année 2015.

L’objectif premier serait donc de permettre aux apiculteurs de remplacer progressivement leurs ruches traditionnelles décimées par des ruches modernes type DADANT (10 cadres) préalablement traitées contre le varroa destructor et de leur fournir le matériel adéquat, ainsi qu’une formation de 2 jours, afin qu’ils puissent relancer leur exploitation dans de bonnes conditions.

La création de la miellerie permettra, contre une participation, à chaque apiculteur de pouvoir extraire son miel des cadres dans des conditions d’hygiène contrôlées et de pouvoir museler la hausse du prix de vente du miel afin que ce dernier reste un produit accessible pour tous.

La participation financière des apiculteurs utilisant la mielleriepermettra à cette dernière de s’auto-financer .

Contact :

Tél. : 034 01 238 80

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La boulangerie CAS’A NOU intervient dans la production, commercialisation et formation de tous types de produits liés à la panification, la viennoiserie et tous dérivés depuis le 27 juin 2017.

Après quelques années dans la restauration, son gérant, Eric Lavergne, a été formé par le " Meilleur ouvrier de France " qui lui a transmis son savoir faire pour un métier exigeant mais passionnant !
Par la suite, il a été directeur de production dans une boulangerie industrielle pendant sept ans et se tourne aujourd'hui vers une production artisanale par amour du travail bien fait et pour une meilleure qualité des produits.
Actuellement, CAS'A NOU compte neuf jeunes malgaches motivés dans son équipe et forme d'autres jeunes désireux d'acquérir ce savoir faire.

Vous êtes un professionnel à Antananarivo ? Vous êtes intéressés par nos produits ? Contactez nous !

Contact :

Tél. : 034 36 181 88

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“ St-Daniel est une marque de charcuterie fine créée à Madagascar en 2015 par des épicuriens dont une des principales passions est de gâter leurs papilles gustatives. Amoureux des charcuteries traditionnelles Française et Espagnole, leur ambition est de créer une passerelle entre la culture charcutière européenne et des produits à forts potentiels issus ou nourris de et par la terre Malagasy. Découvrez nos produits sans aucun additif chimique, dont les ingrédients 100% Malagasy ont été sélectionnés avec soin afin d’exulter les traditions culinaires européennes”

L’assiette de Charcuterie des Hauts-Plateaux.

Composée d’une sélection des meilleures charcuteries du Plateau d’Analamanga, cet assortiment contentera les plus exigeants avec des matières premières exclusivement malagasy.

Le Saucisson Sec traditionnel : Produit uniquement à partir des parties nobles du cochon (Jambon et gras de bardière), il est étuvé précisément avant de sécher en cave pendant plusieurs semaines. Le goût du poivre noir malagasy vient relever un goût déjà fort prononcé, plusieurs autres épices malagasy, ainsi qu’une pointe de rhum viennent ensuite exceller ce produit.

La rosette traditionnelle : Produit uniquement à partir des parties nobles du cochon (Jambon et gras de bardière), il est étuvé avec précision avant de sécher en cave pendant plusieurs semaines, seuls les goûts de l’ail et du poivre noir viennent enrichir celui déjà très identifié du cochon local.

Le Chorizo Doux : Quand un des produits phares de la charcuterie du sud de l’Europe rencontre le paprika et le sakay (piment) moulu local, il en résulte un chorizo doux mais avec un goût très présent.

Le Salami Danois : Produit sans aucun conservateur ou additif, il est, juste après son étuvage, légèrement fumé avec des copeaux de palissandre. Son goût renvoie alors certes au salami Danois traditionnel, mais aussi à une touche d’exotisme qui lui offre son originalité.

Le Saucisson de Paris à l’ail et au poivre vert : Le poivre vert Malagasy vient sublimer ce produit emblématique de la charcuterie cuite française

La mortadelle Italienne aux Olives : Les olives vertes sont la seule concession, non malagasy de cet assortiment de charcuterie, mais le mariage entre l’ail malagasy, la viande porcine locale ainsi que certaines épices locales aux goûts très prononcés avec celui plus malléable de l’olive devait être tenté. Il en résulte un produit délicat et harmonieux.

Contact :

Tél. : 032 02 831 39

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Page Facebook : Domaine de l'escargot

Le Domaine de l’escargot situé à PK17 sur la route de Anjozorobe (RN3)
Notre site est ouvert aux visites sur RDV.
Nous nous situons sur la RN3 - route de Anjozorobe au point kilométrique 17.

Nos escargots (Hélix Aspersa Maxima ou gros gris) naissent au domaine à 17km de Antananarivo, sont élevés en parc en plein air et sont transformés dans notre laboratoire qui est aux normes HACCP.
Les légumes et aromates qui servent à nos préparations proviennent de nos jardins.
Nous n’utilisons aucun engrais, ni pesticides dans nos parcs et jardins.
Nous fabriquons notre composte et pratiquons le vermicompostage.
Le beurre utilisé provient de SOCOLAIT.

Nos produits: en frais ou surgelé

- Coquilles beurrées à la bourguignonne.
- Mini bouchées (pâte feuilletée) bourguignonne.
- Croquille (la coquille est remplacée par une petite gaufrette) bourguignonne.
- Brochettes d’escargot.

En bocaux stérilisés

- chairs d’escargot dans leur bouillon de légumes et d’aromates.
- pâté d’escargot.
- cargotin.

Sommaire

• Ambassades et consulats

• Agences consulaire française

• Services d’urgence

• Compagnies aériennes

Principales localisations

Bénévoles, nommés pour une durée de 5 ans renouvelable, les consuls honoraires sont des relais indispensables pour le consulat général.
Proches des communautés françaises en région, ils ont une fonction d’écoute et traitent en partie des situations se rapportant à l’état civil de nos compatriotes.
Leur analyse en matière de sécurité et leur action lorsque des Français sont en difficulté renforcent le dispositif de protection et d’information sur tout le territoire.

Une liste de notoriété des médecins généralistes, spécialistes, des services d'urgence, des paramédicaux, ... est publiée régulièrement par les services de l'Ambassade de France à Madagascar.

Vous pouvez télécharger cette liste en cliquant sur ce lien :  « Liste de notoriété médicale » ( PDF - 228 ko)

Après plus de 10 ans dans l’organisation de circuits personnalisés pour des clients, en tant que chauffeurs/guides diplomés, Justin ANDRIAMANANTENA et son épouse viennent de créer LOOKGASY Agency pour vous offrir de nouvelles prestations

L’association Look Gasy Aventures est une association de chauffeurs guides créée, il y a plus de 6 ans par Justin.
Cette association regroupe des chauffeurs guides diplomés par la chambre de commerce et d’industrie d’Antananarivo.

L’association vous propose de mettre à disposition des véhicules avec chauffeurs, vous aide à organiser vos circuits sur mesure dans tout Madagascar, mais également sur Antananarivo.

Transfert aéroport d’Ivato :

60 000ar (14€ environ) pour un véhicule pouvant contenir jusqu’à 3 personnes avec bagages
120 000ar (28€ environ) pour un minibus ou un 4x4 (en fonction de notre disponibilité) pour le transfert de 4 à 8 personnes avec bagages.

Si vous êtes intéréssé, il vous suffit de l’indiquer lors de votre demande de réservations à l’hôtel Niaouly, en oubliant pas de nous préciser le nom de la compagnie aérienne, votre heure d’arrivée à l’aéroport d’Ivato.

Un chauffeur de notre équipe vous attendra à la sortie de la douane avec un panneau de l’hôtel portant votre nom.

Journée découverte de la ville d’Antananarivo : 

Cette suggestion vous permettra de visiter les principaux sites historiques, culturelles, artisanaux de Tananarive. C’est vous qui choisissez les lieux que vous souhaitez visiter en fonction de vos attentes. Bien entendu, si vous le souhaitez, nous pouvons vous conseiller ! …
- Voiture légère : 30€ (carburant compris)
- Minibus : 40€ (carburant compris)
- 4x4 : 50€ (carburant compris)
Ces journées débutent à 7h/8h et se terminent vers 16h/17h
Le repas du chauffeur et ses frais sont inclus dans le prix.
Vos frais de restaurations, les frais d’entrées ne sont pas inclus dans le prix.

Journée « découverte » en dehors de la ville (Ampefy, Mantasoa, …)

Cette suggestion vous permettra de visiter les alentours d’antananarivo, plus précisément 2 lieux très prisés des tananariviens : le fameux lac de Mantasoa et les lacs d’Ampefy.
Prévoyez de partir vers 6h30/7h00 et un retour vers 18h00/18h30
- Voiture légère : 30€ (carburant en sus)
- Minibus : 40€ (carburant en sus)
- 4x4 : 50€ (carburant en sus)
Le repas du chauffeur et ses frais sont inclus dans le prix.
Vos frais de restaurations, les frais d’entrées ne sont pas inclus dans le prix.

Le sommaire 

• Les marchés artisanaux d’Antananarivo

  • Le marché d’Andravoahangy

  • Le marché de la Digue

  • Le marché du Coum - 67 hectares

  • Le marché aux fleurs d'Anosy

• Les ateliers d’Antananarivo

  • Le « Village de Maquette » de bateaux

  • L’atelier de Maroquinerie Izaho

  • La fabrique des soldats de plombs

  • La ferronnerie d’Art de Violette et Dieudonné

  • La galerie Lisy

  • Les marqueteries de Mme Noro - Galerie Tambabe

  • L'épicerie artisanale "Gourmandise"

• Les galeries photos d’Antananarivo

  • La galerie de Pierrot Men

  • La galerie de Fabrice Delannoy

  • La galerie de "Laland"

Adresse :

Quartier d’Andravoahangy - Antananarivo

30 minutes à pieds - environ 2€ en taxi

Jours et Heures d’ouverture : 

Tous les jours de la semaine, sauf le dimanche, de 10h00 à 16h30

Le marché d’Andravoahangy est sans aucun doute le marché historique le plus authentique de la capitale malgache Antananarivo.

Ce marché, légèrement excentré du centre ville, véritable labyrinthe, est un marché à ciel ouvert, constitué d’une mosaique d’échoppe en dur et couverte, et d’étales en bois rustique.

La dualité des constructions répond à la dualité des activités de ce marché : l’artisanat et la vente de produits de permières nécéssités.

Situé à 3 Km de l’hôtel Niaouly, ce marché est un marché vivant, de très nombreux malgaches s’y rendant pour effectuer les courses quotidienne. Vous aurez ainsi l’occasion de partager un moment le quotdien des ménagères malgaches.

Même si ce marché est encore de nos jours victime de sa mauvaise réputation des années 1990, due aux pickspockets, même si les chauffeurs de taxi continuent de décourager les touristes de s’y rendre, préférant les emmener au marché de la Digue, la course étant plus chère, ... ce marché est l’un de mes préférés.

A sa phériphérie sud, vous rencontrer des échoppes de produits d’Asie, puis en pénétrant dans les profondeurs de ce marché, vous tomberez successivement sur l’allée des brodeuses, puis les marchands de pierres précieuses et de pierres fines, les objets en métal recyclé, les stands de marquetteries, de bois sculpté, de vannerie, de bijoux en argent, d’articles en cuir, ....

Certains artisans continuent de travailler sur place : lunettiers, bijoutiers, brodeuses, ....

Au centre de ce marché, un batiment en dur portant les séquelles du temps renferme des petits magasins colorés.

A l’extrémité Nord, c’est le marché traditionnel, avec la volailles, les épices, les plantes médicinales, le poisson séché, les légumes et fruits provenant des diverses provinces de Madagascar ... un arc en ciel de couleur!

Prenez-le temps de découvrir les plantes médicinales de Madagascar ... si les vertus de la plupart sont incontestés comme l’Artémisia, le Katrafay, ... d’autres en revanche ont des vertus ... plus insolite : « retour de l’être aimé », « invulnérabilité / protection contre les balles ».

Pensez à acheter un petit produit afin devremercier le vendeur pour ses explications!

Adresse :

Sur la route de l’aéroport d’Ivato, quartier d’Anosivita Boina

Jours et Heures d’ouverture : 

Tous les jours de la semaine de 10h00 à 16h30

Le marché de la Digue est un marché consacré à l’artisanat malgache, situé sur l’une des routes menant à l’aéroport international d’Ivato.

il a vu le jour dans les années 2010 pour faire face à la pression d’artisans et de revendeurs désireux de s’installer, mais ne trouvant de place dans les marchés historiques d’Antananarivo.

Les stands en bois en enfilade se répartissent de chaque d’une route goudronnée peu fréquentée sur plusieurs centaines de mètre,

Bien que moins atypique que la marché d’Andravoahangy, ce marché à,l’avantage d’être très aisé à visiter de par sa configuration et le peu de fréquentation,

Vous y trouverez de nombreux articles en Raphia, cuir, bois, en matière recyclés, ....

Soyez vigileant car certains stands recèlent des articles très originaux que vous ne pourrez retrouver ailleurs.

Adresse :

Sur la route de l’aéroport d’Ivato, quartier d’Anosivita Boina

Jours et Heures d’ouverture : 

Tous les jours de la semaine de 10h00 à 16h30

Le marché du Coum, appelé également par les malgaches et les résidents le marché des 67 hectares est situé au nord est de la ville, à environ 5 km de l’hôtel Niaouly.

Il s’agit essentiellement d’un marché d’artisanat malgache qui rassemble de très nombreux artisans le jeudi et le vendredi en provenance des villages périphériques au sens large de la capitale malgache, mais également de nombreux grossistes de province.

Si dans la partie Sud du marché du Coum qui est à ciel ouvert, sont exposés des meubles en bois, matelas, ... en revanche, dans la partie Nord, sont exposé des articles divers : sac en raphia, statues, ustensiles en aluminium, ...

Si les produits y sont présentés en quantité, en revanche, le choix est moins varié que sur les autres marchés de la capitale.

Adresse :

A proximité du lac d'Anosy, sur la route menant à l'hôpital HJRA

Jours et Heures d’ouverture : 

Tous les jours de la semaine de 10h00 à 16h30

Situé à proximité du lac d’Anosy, connu pour ses jacarandas  et ses ministères, le marché aux fleurs d’Antananarivo est un lieu incontournable de la capitale malgache pour toute personne à la recherche de plantes provenant des 4 coins de la grande île.

Succession de petits pavillons en bois, le marché aux fleurs d’Anosy vous permettra de découvrir la grande variété de plantes et de fleurs, du palmier au pachypodium, sans oublier les orchidées…. de Madagascar.

Ne rater pas la fameuse « corne de cerf », plante atypique qui selon la croyance vous avertit de la présence de voleur, dont le nom malgache est « ranalahy ».

Adresse :

Lot 36F - Quartier d’Ambohibao

Arrivé dans la quartier d’Ambohibao, vous trouverez assez facilement l’atelier de maquettes, de nombreux panneaux vous indiquant la route.

Jours et Heures d’ouverture : 

L'atelier et le showroom sont ouvert du lundi au vendredi de 8h00 à 16h30 

Seul le showroom est ouvert le samedi de 8h00 à 16h30

Contact : 

020 22 451 97 / 034 07 129 50

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Site internet : Le Village

Magique! ... tel est le mot qui vous viendra à l'esprit en découvrant à Antananarivo, dans le quartier d'Ivato, le "village de maquettes de bateaux"
Longtemps copié, mais jamais égalé, le "village" est aujourd'hui la référence mondiale en terme de reproduction de bateaux.
Amoureux de maquettes de bateaux bois, Hervé Scrive et son épouse ont créé l'atelier "Le village" en 1992.
Après plus de 20 ans à la tête de ce chantier navale pour maquette, ces derniers ont vendus leur entreprise à des amoureux comme eux de la mer et de la voile, mais également soucieux de préserver l’âme sociale du projet.
L’atelier « le Village » fabriquent, outre Penduick, L'Hermione, La granvillaise, Sao Mai, La Boussole et L'Astrolabe de La PEROUSE sous licence : Les Maquettes historiques, grands voiliers, bateaux de Pêche et toute commande spéciale sur plans des Musées, chantiers et armateurs.

En Ebène et en Palissandre, les maquettes sont toutes numérotées et réalisées à la main.
Souhaitant partager leur passion, l’équipe du « village » vous ouvre non seulement les portes de leur showroom , mais également de leur atelier.
C’est ainsi que vous aurez l’occasion de visiter les différentes parties de ce chantier à taille humaine :
• sculpteurs
• tourneurs sur bois
• marqueteurs
• ébénistes, peintres
• soudeurs sur cuivre
• brodeuses etc…
, le Show room de plus de 100m2, quant à lui, vous permettra de découvrir au travers des maquettes, l'histoire mondiale de la marine.
Soucieux d’étendre leur savoir faire, l’équipe du « village » conçoit également des planisphères et autres cartes en marquetterie.

Adresse :

Lot VE50 - Quartier d’Ambatovinaky - Antananarivo

L’atelier de maroquinerie Izaho se situe juste à coté de l’hotel Niaouly.

Jours et Heures d’ouverture : 

L'atelier est ouvert du lundi au vendredi de 8h00 à 16h15, et le samedi de 8h00 à 11h00

Contact : 

M. Eric : 034 55 892 28

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Site internet : L’atelier Izaho

L’atelier IZAHO a une double vocation : développer une maroquinerie artisanale à partir de cuir de zébu, selon les règles de l‘art de là « haute maroquinerie » (point sellier, tranche à la main, …) et permettre à des personnes ayant des déficiences en terme d’audition de pouvoir trouver un emploi autonome.

Afin de pouvoir viabiliser ce projet, l’atelier IZAHO s’est mis à développer une gamme de produits originaux, personnalisables … entièrement réalisé à la main par ses équipes.

La visite de l’atelier vous permettra non seulement de découvrir les différentes étapes du travail du cuir, de la découpe à l’assemblage.

Vous aurez l’occasion de découvrir tout l’univers authentique de la maroquinerie artisanale malgache.

Adresse :

Jours et Heures d’ouverture : 

L'atelier est ouvert du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 16h30

Le samedi, de 14h à 16h30

Contact : 

Adresse :

La ferronnerie d’art de Violette et Dieudonné

Lot VE26 Ankazobe - Mandroseza

L'atelier est ouvert du 

Contact : 

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032 42 374 35

La Ferronnerie d’Art de Violette et Dieudonné est né à la fin des années 90’

Violette et Dieudonné, couple de malgache des plateaux ont décidé à l’époque, de venir en aide à leurs concitoyens en situation précaire : jeunes mineurs délinquants, femme-mère célibataire, personnes ayant un handicap, personnes agées, ...

N’’ayant aucune fortune personnelle, pas plus que de sponsors ou des bailleurs de fonds, c’est à la force du poignet, avec rien si ce n’est les connaissances de Dieudonné en soudure et le gout artistique de Violette ... qu’ils se sont lancé dans la fabrication d’article en fer forgé recyclé,

Car ici, on redonne vie aux fûts de carburant, aux vieilles tôles de camion, ...

La ferronerie d’art était né! ..  

La réussite n’a pas tardée à etre au rendez-vousà, le bouche à oreille fonctionnant parfaitement à Antananarivo.

Au fil des ans, après les particuliers, ce furent les professionnels qui sont venus se fournir en lampes, appliques, .... tant pour leurs hôtels que pour leur biens en location, leurs galeries, leurs boutiques, ...

Dans les années 2010, ce fut des grossites d’Europe qui vienrent s’approvisionner à la ferronnerie de Mandroseza.

Au plus fort de l’activité, la ferronnerie de Violette et Dieudonné a pu employer jusqu’à 467 personnes

Des classes d’école, des potagers solidaire, ... et même une équipe de football reconnue ont pû voir le jour grace àl’acharnement et la volonté inébranlable de Violette et Dieudonné.

Adresse :

Route du mausolée

Jours et Heures d’ouverture : 

La galerie est ouverte tous les jours de 8h00 à 18h30

Contact : 

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Tél : +261 34 03 541 50 – 22 277 33

Installé depuis 1990 , n°1 de l’artisanat à Madagascar. Surface de vente environ 500 m2 répartis sur une douzaine de salles. Présente environ 120 00 références soit plus de 80% de la diversité de l’art malgache. Choix impressionnant dans tous les domaines : les tissus, les métaux, la vannerie, le bois, la corne, la maroquinerie, les pierres, tableau …

Adresse :

African House - Lot IIA5 - Quartier de Faravohitra

Jours et Heures d’ouverture : 

La galerie est ouverte du mardi au samedi inclus, de 9h00 à 17h00

Contact : 

Tél : 032 05 303 64

Site Internet : En cours de création

Facebook : African house

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Adresse :

African House - Lot IIA5 - Quartier de Faravohitra

Jours et Heures d’ouverture : 

L'épicerie est ouverte du mardi au samedi inclus, de 9h00 à 17h00

Contact : 

Tél : 032 11 003 92

Facebook : Gourmandise

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CONFITURES GOURMANDISE
 
La sélection des fruits
"Une bonne confiture c’est avant tout de bons fruits ! Pour cela, seules les meilleures variétés sont sélectionnées pour leur qualité gustative.  Les fruits sont cueillis à maturité pour dévoiler tous leurs arômes.
Je suis en relation  avec les producteurs locaux, l’approvisionnement en fruits se fait donc directement."

La préparation des fruits
"Les fruits sont travaillés manuellement et par petite quantités afin de préserver tous leurs arômes.
Avant cuisson, ils sont mis à macérer avec le sucre « gasy » (briquette de sucre brun artisanale) dans des jattes en inox pendant 24 heures.
Au final, la cuisson courte et maîtrisée dans de petits chaudrons en cuivre permettent de préserver pleinement la saveur des fruits rigoureusement choisis pour leur goût exceptionnel et de réduire ainsi la teneur en sucre.
Mes confitures sont ainsi appelées « préparation de fruits » ou « extra fruits » car elles sont en dessous du taux de brix (taux de sucre) de 55 imposé par la règlementation des confitures, mais aussi car elles ne contiennent aucuns conservateurs ni autres additifs."
 
Mise en pot à chaud et stérilisation des bocaux
"On stérilise les pots vides, puis on les remplis pour une nouvelle stérilisation à chaud pendant 1h.
Cela permet une meilleure conservation des confitures."

Frederika Sandra Berg

FOIE GRAS GOURMANDISE
 
"Mon foie gras mérite son appartenance à la famille des produits d’exceptions en raison de l’attention toute particulière que j’apporte à sa préparation et qui assure sa qualité.
Mes préparations, recettes, sont à base de 100% de foie entier, composées d’un ou de plusieurs lobes moulés entre eux.
Mon procédé de cuisson est celui qui respecte au mieux la noblesse du foie, mais aussi la texture en bouche.
L’affinage dans le temps révèle des arômes explosifs et concentrés.
Les bocaux mi-cuits de canards sont des foies en provenance d’Antsirabe en semi-conserve d’excellente qualité. Leur conservation est de 3 à 6 mois."

Frederika Sandra Berg

Adresse :

Showroom Pierrot Men Photographies

Enceinte Tana Water Front

Module n°2 à côté de la Librairie Lecture et Loisirs - Quartier Ambodivona

Jours et heures d’ouverture :

Lundi : 14h à 18h

Mardi à samedi : 10h à 18h

Dimanche : 10h à 12h

Contact : 

Tél : (00261) 34 09 283 07

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Site internet : Le photographe Pierrot Men

Découvrir les photographies de Pierrot Men, c’est aller à la rencontre d’un homme, d’un peuple, de l’inconnu. Mémoire de Madagascar, il offre une approche onirique, chaotique et lumineuse de la vie dans ce qu’elle a de plus éprouvé et de plus digne.

Pierrot Men offre une vision personnelle et intimiste  de cette île où il est né, et où il habite.

D’origine franco-malgache et chinoise, il porte en lui ce métissage révélateur d’identités multiples issues de l’Afrique, de l’Asie et de l’Europe.

Ses photographies révèlent un monde en équilibre. Des tableaux nés d’une complicité tacite entretenue avec chaque habitant.

A la frontière du rêve et de la réalité, de l’humanité et de l’inhumanité. Si proche et si loin du quotidien….

La lumière s’invite dans chacune de ses compositions, enveloppant une scène à ciel ouvert traversée de silhouettes affairées, de funambules éphémères et de passants éternels presque irréels. Ici le sens et l’émotion vont de pair avec une distance juste et une présence discrète. Peu de cadrages serrés, pas d’intrusions directes. Ses  noir et blanc nimbés de brume matinale et de brouillards incertains adoucissent avec pudeur une vie simple et brutale. L’expression d’une vraie révolte continue, face à d’insupportables vérités.

Car tout est question de temps. De patience.D’émotion. Bienveillant et lucide, Pierrot Men saisit l’âme d’un peuple et l’essence de l’insularité.  «  Une photo, c’est une histoire de rencontre…comme un coup de foudre, ça va très vite et il faut être prêt et près à tout moment. » Humaniste discret, engagé poétique, Pierrot Men est de ces hommes qu’on ne peut qu’aimer. Un photographe témoin de cet Autre qui nous échappe.

 Virginie de Galzain

 Quelques dates clés :

 1954 : Naissance à Midongy Du Sud, sur la côte Est de Madagascar

 1974 : Premiers pas dans la photographie après des tentatives en peinture et création de son premier labo, Fianarantsoa

 1985 : Première exposition avec le collectif des photographes de Tananarive au Cite Ambatonakanga

 1991 : Création du « Labo Men », Fianarantsoa

 1995 : Lauréat du concours Mother Jones International Fund Documentary, San Francisco

 1997 : Médaille d'or aux Jeux de la Francophonie, Antananarivo

 2010 : Représenté par la Galerie Capazza 18330 Nançay (galerie cappazza)

 2012 : Officier de l'Ordre des Arts, des Lettres et de la Culture, Antananarivo

Le travail photographique de Pierrot Men a donné naissance à de nombreux ouvrages thématiques au fil des ans.

Adresse :

Lot 121 Ter - rue Rainandriamampandry - Quartier de Faravohitra - 101 Antananarivo

Contact : 

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Site internet : Fabrice Delannoy Photographe

Fabrice est le photographe de l’Authentique, de l’Humain et de l’Universel qui sommeille en chacun d’entre nous.

Avec lui, le boîtier Reflex qu’il porte en bandoulière n’est jamais éteint. Mieux encore, il est sans cesse préréglé en fonction de la lumière ou du contexte mobile ou pas. Ainsi, il est toujours prêt à capter l’instantané ou, plus précisément cet instant d’éternité qui fait la différence d’avec les photos d’amateurs.

Un rideau qui vole devant et laisse deviner des silhouettes ? Fabrice a son cadrage en tête et shoote à l’instant opportun. Un regard d’enfant ? C’est toute la vérité qui est dedans si l’on en croit le photographe pour qui « les enfants sont tout le contraire du monde rempli de tromperies et de mauvaise foi des adultes ».

Cette citation résume à elle seule toute la philosophie de l’artiste, resté enfant comme tout artiste digne de ce nom et qui a consacré deux expositions et une livre à « L’enfance dans tous états » (Edition Studiopresse, 2010). Toujours prêt à capter l’instantané, Fabrice a donné procuration à son 24 mm qui voit et mémorise pour lui.

Son objectif est devenu véritable outil d’ethnographe qui ne permet de ne voir que l’essentiel. A la fois proche (puisqu’un bon photographe se devine déjà à la focale qu’il utilise) et distant, pour mieux apprécier les différences, il met en images tout ce qui fait le moment d’éternité.

J. Rombi (Journaliste et correspondant du mensuel économique "Memento" pour Mayotte, Madagascar, Maurice)

Adresse :

Laland, de son vrai nom Yves Rolland Rakotoarisoa, est joignable pour une rencontre sur rendez-vous.

Contact : 

+261 34 06 947 66
+261 32 40 703 96

Mail :

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Facebook : Laland RAKOTOARISOA

Yves Rolland Rakotoarisoa, dit Laland, est né à Antananarivo en 1966.  Il se passionne pour la photographie depuis 1998. Membre du bureau d'ARA-SARY, association organisatrice des biennales de la photographie de l'Océan Indien en 2005 et 2007, il est aussi photographe accrédité pour l'UNICEF et ONUSIDA.
 
Il travaille en argentique et en digital, aussi bien en publicitaire qu’en artistique.
Une des dimensions de son travail s’attache à la valorisation du patrimoine et des savoir-faires malgaches, valorisation que l’on retrouve dans les trois livres dont il est le photographe : “Antananarivo, Patrimoine Méconnu”, “Madagascar, le Grand Livre des Petits Métiers” et “Madagascar et le zébu  un couple en danger” dont la valeur socio-économique ainsi que culturelle reste omniprésente dans l’esprit du peuple malagasy.
 
Bekoto du groupe Mahaleo écrit :
« J’ai eu l’impression d’avoir visité une galerie secrète peuplée de portraits d’attachants personnages oubliés par l’Histoire, et presque marginalisés par le développement (trop) rapide de leur environnement ».
 
Laland a tenu plusieurs expositions à Madagascar et en Europe.

• Centre de soins et de bien-être : Arombio

Adresse :

54 avenue Général Ramanantsoa

Quartier d’Isoraka - Antananarivo

15 minutes à pieds - environ 1,6€ en taxi

Jours et Heures d’ouverture : 

Du lundi au samedi de 8h à 18h00

Contact :

Accueil: 034 21 295 53

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Arombio est un espace dédié à votre bien être et votre santé, mais également un salon de message.

"Nous y avons sélectionné pour vous les meilleures matières premières et nous produisons notre gamme de cosmétiques et thérapeutiques à base d' huiles essentielles et végétales,Vous pourrez également y découvrir une sélection de vanilles, tisanes et chocolat artisanale.
Arombio c'est aussi un centre de bien être et d’esthétique , un havre de paix au cœur de la ville .
Pour tous les amoureux de la nature , soucieux de leur bien être et privilégiant les produits locaux, l’équipe d'Arombio aura le plaisir de vous accueillir et de vous conseiller."